Malgré leur beauté, les étoiles ne se dévoilent pas facilement à l’observateur ! Le Soleil reste alors le sujet de prédilection pour comprendre les mécanismes de la physique stellaire.

Grace aux divers filtres solaires, nous pourrons déjà évaluer le diamètre apparent du Soleil, beaucoup plus petit que l’on ne l’imagine. Détailler ensuite la surface bouillonnante semblable aux grains d’un épi de maïs (la granulation).

 

Si l’activité du Soleil le permet, nous observerons les tâches solaires, siège d’un intense champ magnétique refroidissant le gaz de la chromosphère.
Normalement visibles seulement pendant les éclipses solaires, les protubérances nécessitent pour être observées un filtrage supplémentaire en raison de leur faible luminosité et de la longueur d’onde dans laquelle elles émettent.

Nous disposons d’un instrument dédié pour apprécier ces délicates « flammes » d’hydrogène ionisées.